Bréhat hors-saison

Un paysage maritime unique

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#guingampbaiedepaimpol

Balade autour de l’île

Pour découvrir l’île aux fleurs et aux rochers roses autrement, loin de la foule estivale, comme un local, tentez une autre approche ! Le tour de l’île à bord de l'une des Vedettes de Bréhat permet d’appréhender un univers maritime unique, peuplé de dizaines d’îles et îlots baignés par les marées et les lumières uniques à cette période.

Embarquement à l’Arcouest

Par un petit matin frais et à marée descendante, nous voilà en mer pour 45 minutes commentées. Baigné de courants permanents et de nombreux écueils, c’est un site de navigation réservé aux marins aguerris. Ne dit-on pas que ceux qui savent naviguer sur l’archipel peuvent naviguer partout ailleurs ? En approche de l’estuaire du Trieux, le bateau remonte vers le nord. Au loin, le phare des Héaux. Regard à l’est, le temps d’apercevoir l’entrée du port de la Corderie et la chapelle Saint-Michel, à découvrir plus tard, en visitant l’île à pied.

L'île aux deux visages

Le bateau remonte le long de l’île nord, plus abrupte que la partie sud, « elle est balayée par les vents dominants de nord et norois », ce qui explique la végétation rase et son côté plus austère. C’est de là que le phare du Rosédo veille sur la navigation alentour. Tout au nord, le phare du Paon domine sur son promontoire rocheux. « Aujourd’hui automatisé, il a connu avant la guerre la première gardienne de phare en France, elle y travailla jusqu’à sa mort à 87 ans ». À l’approche du Port Clos, la végétation redevient luxuriante.

L’île sud bénéficie d’un climat quasi méditerranéen qui permet une très grande diversité de fleurs et de plantes exotiques, d’où le surnom d’ « île aux Fleurs ». Mimosas, figuiers, eucalyptus, agapanthes, hortensias y fleurissent en été.

Un chapelet des 96 îles et îlots

Le chapelet des 96 îles et îlots déroule de jolis noms : le Bouc ou la Chèvre, les Agneaux ou Béniguet, l’Île verte ou encore Lavrec ou Logodec. À travers ces îlots, c’est la découverte de tout un univers maritime avant de poser pied à terre pour une visite du joyau de l’archipel, Bréhat, l’île sans voiture aux sentiers et chemins presque déserts…

Texte : © Avec l’aimable autorisation de Publihebdos

  • Bréhat hors saison ©L'oeil de Paco

Les vergers de Beauport...

un patrimoine fruitier à croquer !

Jacques Aduriz, garde du littoral à l'abbaye de Beauport © Oeil de Paco

Jacques Aduriz

garde du littoral veille sur 110 ha d'espaces fragiles où se côtoient prés-salés, marais, forêt, jardins...

Le site offre chaque année une belle récolte, dont 5 tonnes sont valorisées en cidre artisanal et jus de pomme
 

En vente à l'abbaye

Des sentiers de randonnées à pied ou à vélo sont aménagés sur le Domaine de Beauport afin de profiter pleinement de la beauté du site

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#guingampbaiedepaimpol

L’abbaye maritime de Beauport, à Paimpol, au cœur d’un espace naturel préservé, abrite un verger conservatoire de quelque 500 pommiers surveillés de près par Jacques Aduriz, garde littoral, bien aidé pour l’entretien quotidien, par quelques vaches et moutons bretons.

Matin d’automne ensoleillé à l’abbaye de Beauport. Dans l’air iodé chargé de brume flotte des parfums mêlés de champignons, de bois morts, d’herbe mouillée et de pommes… Un régal !  Il faut dire que ce fruit règne en maître ici. « Environ 500 pommiers sur trois hectares pour une soixantaine d’espèces différentes, dont 80% de pommes spécifiques à Beauport », détaille Jacques Aduriz, garde littoral.

Cru artisanal

Espace naturel s’étendant sur plus de 100 hectares, le domaine maritime et terrestre de Beauport, lové au fond de l’anse de Paimpol, entre la presqu’île de Guilben et la pointe de Kérarzic, est depuis 1992 la propriété du Conservatoire du Littoral, dont Jacques est salarié. « Les vergers originels, plantés autrefois pour le cidre, ont été réhabilités en vergers conservatoires. On a gardé les vieux pommiers tout en travaillant à la sélection de nouvelles variétés, par le biais de greffes. Des plants essentiellement bretons, surtout de la région du Goëlo et du Trégor ».
Le but : préserver un patrimoine fruitier menacé par la standardisation et l’homogénéisation des variétés commercialisées. Assurer la pérennité d’un réservoir génétique.

De toutes ces variétés de pommes est né un cru artisanal de cidre et de jus sur la base d’un assemblage établi quelques années plus tôt par Jacques, même si chaque année, en fonction de nombreux critères, saveurs et goûts peuvent fluctuer.

Vaches bretonnes

Car ici la terre est vivante, et la biodiversité des plus riche au cœur de cette mosaïque d’habitats naturels : roselières, grèves rocheuses, prés-salés, marais, bois, ruisseaux et étangs. Grâce aussi au choix du zérophyto adopté depuis longtemps, et aux soins prodigués par Jacques et les jardiniers. L’air maritime qui caresse les pommiers leur apporte également sa touche singulière.

Un bon air et une douceur de vivre qu’apprécient tout autant Tulipe et Ursin, les deux jolies vaches pie noire qui paissent tranquillement au milieu des vergers. Des « débrousailleuses » naturelles, aux pieds adaptés à cette zone humide (en grandes marées, les racines des pommiers peuvent baisser dans l’eau saumâtre), à l’instar de Naoned, une autre petite vache rustique, nantaise cette fois, comme l’indique son nom breton, à la robe couleur du fameux Petit LU. L’idée étant, pour Jacques, d’avoir à termes les quatre races bretonnes pour entretenir les pâturages. Reste donc à accueillir encore une Froment de Léon et une Armoricaine.

En attendant, à côté des vaches, dix moutons des landes de Bretagne participent eux aussi à l’entretien du domaine en attendant l’arrivée prochaine de leurs cousins de Belle-Ile. Tout un cheptel de races rustiques, parfaitement adaptées au climat local.

Un vrai goût de pomme

Une biodiversité précieuse qu’une fauche tardive adaptée contribue à préserver, juste avant la récolte des pommes, et autant de zones de reproduction et de nichage protégées pour toutes les espèces qui jouent alors leur rôle : « le passereau va manger l’asticot, le hérisson la limace… ».

Un équilibre naturel, une attention de chaque instant qui donne aux cidres et jus de pommes issues de l’abbaye une qualité indéniable, de jus, du goût, du caractère qui remporte un grand succès auprès des connaisseurs qui sont ravis de retrouver ici « leur petite madeleine de Proust : pas trop sucrée et un vrai goût de pomme ! ».

(© Avec l’aimable autorisation de Publihebdos, Fanch Le Pivert)

  • Les vergers de Beauport © Oeil de Paco

Le dessert au coco de Paimpol (AOP)

La surprise du chef Mathieu Kergourlay !

Le chef Mathieu Kergourlay au restaurant du château de Boisgelin ©L'Oeil de Paco

Mathieu Kergourlay

aux manettes des cuisines du restaurant du château de Boisgelin, ne revisite rien mais interprète la cuisine à son envie

La recette intégrale est à retrouver

ICI

Le coco de Paimpol est vendu frais à écosser, d'août à octobre et les secs se vendent écossés en sachets toute l'année.

 

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#guingampbaiedepaimpol

Le Coco de Paimpol en dessert ? C’est possible. Mathieu Kergourlay, le chef du restaurant de Boisgelin, à Pléhédel, nous dévoile sa recette du dessert au coco de Paimpol. De quoi ravir toutes les papilles !

On s'imagine le Coco de Paimpol cuisiné avec de la tomate, des charcuteries, du poisson peut-être ou même des coquillages ou en accompagnement d’une bonne viande… Mathieu Kergourlay s’est lancé sur des pistes moins classiques pour préparer ce produit emblématique de la région mais dont la réputation a largement dépassé la Bretagne. « Je ne revisite rien mais j’interprète la cuisine à mon envie », souligne-t-il. C’est pourquoi, le chef de l’hôtel-restaurant du château de Boisgelin a décidé de concocter un mariage inédit : un dessert mêlant une mousse de Coco de Paimpol à la vanille agrémenté d’un confit de fraise basilic et d’un sablé parfumé au citron vert. De quoi faire frémir les papilles !

Des produits locaux et de saison

Mais avant de se mettre aux fourneaux, passage obligé au marché de Paimpol du mardi matin. Le chef y a ses habitudes et les maraîchers de la ferme de Kersa de Ploubazlanec l’attendent déjà. « Pas besoin d’aller chercher loin ce qu’on a à côté », sourit Mathieu Kergourlay qui cuisine au quotidien, avec des produits de saison et provenant de producteurs du coin. Avec ses kilos de Coco sous le bras, ses barquettes de fraises et son basilic, direction les cuisines pour le chef.

Une cuisine sans gluten ni lactose

Pour commencer, petit topo sur la recette qui va suivre, inventée, testée et approuvée la veille. Mathieu Kergourlay, en poste depuis quatre ans à Boisgelin et auparavant chef étoilé au manoir de Lan Kerellec à Trébeurden, propose au quotidien une cuisine saine, sans gluten et sans lactose, étant lui-même intolérant et allergique.

Une vitrine internationale

Avec les cocos, le chef s’emploie maintenant à produire une mousse parfumée à la vanille. Les graines blanches se retrouvent dans la casserole avec du sirop d’agave, des gousses de vanille et un peu de thym citron. Le tout mijote et commence à embaumer la cuisine. Pendant ce temps, Mathieu s’applique à faire un sablé bien croustillant (presque breton mais sans beurre) puis une confiturée de fraises Mariguettes.

Belle et gourmande assiette

Les Cocos sucrés récupérés, vient le moment d’élaborer la mousse à l’aide de l’huile de noix de coco qui remplace le beurre car permettant de cristalliser et de figer. Point important : ne pas oublier de goûter après chaque étape, car « Un cuisinier qui ne goûte pas, n’est pas un bon cuisinier. » La crème végétale est ensuite mise en siphon et tous les éléments sont réunis pour le dressage. Il est temps de laisser parler sa créativité pour mêler Cocos, tartare de fraise, sablés et crème. Même s’il est impossible d’égaler la beauté de l’assiette du grand chef, en suivant la recette à la lettre, tout apprenti cuisinier peut aussi proposer un beau (et surtout bon !) tableau. Sous la belle texture, le goût du Coco est vraiment là, relevé par l’acidité de la fraise. « Comme quoi, on peut faire du haut de gamme sans lactose et sans gluten et avec du Coco de Paimpol ! », conclut, satisfait, Mathieu Kergourlay.

(© Avec l’aimable autorisation de Publihebdos, texte adapté d'Aglaé Kupferlé)

  • Le dessert au coco de Paimpol de Mathieu Kergourlay ©L'Oeil de Paco

Guingamp: kleine Stadt mit viel Charme

Petite Cité de Caractère®

Visites guidée de Guingamp avec Julie ©Oeil de Paco

Julie

führt ihre Gäste durch die viele Jahrhunderte alte Geschichte der Stadt

  • Guingamp-Baie de Paimpol ist Hat viel zu bieten
  • Dein idealer Tag Auf einer sonnigen Caféterrasse mit Menschen, die ich mag, einen guten Tropfen trinken
  • Deine Philosophie Warte nicht, bis der Sturm vorüberzieht, sondern lerne im Regen zu tanzen“ (sinngemäß nach Seneca)
  • Dein Lieblingsmoment Der Coat Liou-Turm in Bourbriac mit seinem atemberaubenden 360°-Panorama
  • Dein Leibgericht Schokolade
  • Deine Leidenschaft Konzerte und sonstige Darbietungen besuchen

Foto-Traumreise im Kunstzentrum GwinZegal

Das Programm einsehen

Im Anschluss eine Wanderung am Trieux-Ufer

Das Tourenblatt Au coeur de Guingamp herunterladen

 

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#guingampbaiedepaimpol

Guingamp ist nicht nur für seinen Fußballverein En Avant, sondern auch für seine Jahrhunderte alte Geschichte und zahlreichen Kulturschätze landesweit bekannt und wurde 2018 mit dem Label Petite Cité de Caractère® (sehenswerte Kleinstadt) ausgezeichnet. Kommen Sie mit auf Entdeckungstour.

Ausgangspunkt ist der Place du Vally, wo man parken kann und jeweils freitags der Wochenmarkt stattfindet. Von hier hat man einen wunderbaren Ausblick auf das Schloss von Pierre II. und die eindrucksvolle Basilika Notre-Dame de Bon-Secours.

Das alte Gefängnis

Etwa 200 Meter weiter befindet sich das 1997 unter Denkmalschutz gestellte ehemalige Gefängnis, das zwischen 1834 und 1840 entstand, 1841 in Betrieb genommen und bis 1934 als Haftanstalt genutzt wurde.

Das Gefängnis hatte einst 35 Zellen für männliche Insassen und 6 für Frauen. Es wurde 1951 endgültig außer Dienst gestellt und gehört seit 1992 der Stadt Guingamp.

Heute befindet sich hier das Kunstzentrum GwinZegal, das Fotokunst zeigt. Demnächst soll hier außerdem eine staatliche Kunst- und Kulturerziehungseinrichtung einziehen.

Das Rathaus

Josefsschwestern erbautes Kloster war, die sich 1676 in Guingamp niederließen, und das zunächst als Krankenhaus diente. Im Zuge der Französischen Revolution wurde das Hauptgebäude zum Gefängnis und die Kapelle zum Pferdestall umfunktioniert.

1803 ging das Kloster an die Ordensschwester zurück, doch die Krankensäle waren mittlerweile so baufällig, dass ein neues Krankenhaus errichtet wurde, das später von der Stadt für die Unterbringung des Rathauses erworben wurde. Die Gartenanlage ist seit 1914 öffentlich zugänglich.

Das Schloss von Pierre II.

Vom Rathaus gelangt man durch die bekannte Einkaufsstraße Notre-Dame zum Schloss von Pierre II., das im frühen 11. Jh. als Trutzburg entstand und in neuerer Zeit bis ins 20. Jh. als Grundschule genutzt wurde.

Im Zuge der 2015 begonnenen Sanierungsarbeiten hat das Schloss mittlerweile zu alter Schönheit zurückgefunden und ist nicht zuletzt wegen des spektakulären Ausblicks auf den tief unten fließenden Trieux bei Touris und Einheimischen gleichermaßen beliebt.

Notre-Dame de Bon-Secours

Vom Schloss ist es nur einen Katzensprung zu der eindrucksvollen Basilika Notre-Dame de Bon-Secours. Sie ist einer der schönsten Kulturschätze der Stadt und entstand im 14. Jh. auf den Überresten einer romanischen Kapelle, deren Fundament aus dem 11. Jh. stammt.

Sowohl Gläubige als auch Neugierige sind von der Schwarzen Madonna in der Kapelle der Basilika angezogen und stellen Opferkerzen für sie auf.

Der Zentrumsplatz

Nach der Besichtigung der Basilika geht es weiter in Richtung Place du Centre, der mit hübschen Fachwerkhäusern und einem berühmten Bauwerk namens La Plomée die Blicke auf sich zieht. Der im 15. Jh. entstandene Springbrunnen ist heute Symbol der Stadt und Austragungsort volkstümlicher Veranstaltungen.

Nach Beendigung dieser kleinen Stadttour versteht man besser, warum Guingamp 2018 als sehenswerte Kleinstadt (Petite Cité de Caractère®) ausgezeichnet wurde.

An den Ufern des Trieux

Vom Zentrumsplatz geht es durch eine enge Gasse – die Venelle du Moulin de la Ville – hinunter zum Trieux. Fußgängerbrücken über den Fluss und ruhige malerische Uferabschnitte mit Bäumen und Sträuchern laden zu entspannten Spaziergängen und zum Joggen ein.

Text : Publihebdos

  • Visite guidée de Guingamp © Oeil de Paco

Croisière apéro dans l’archipel de Bréhat

Balade au soleil couchant en vieux gréement

Balade-apéro sur un vieux gréement dans l'archipel de Bréhat ©Oeil de Paco

Cédric

Le capitaine de l'Enez Koalen fait le bonheur des petits et grands moussaillons

  • Guingamp-Baie de Paimpol c'est Des femmes et des hommes qui savent accueillir mais aussi des sites aussi divers qu’époustouflants de beauté
  • Ta journée idéale Une petite navigation dans les eaux abritées de l’archipel de Bréhat et mouiller l’ancre dans une crique pour une pause déjeuner sur le pont dans le partage et la convivialité
  • Ta philosophie Authenticité, respect, exigence et partage : c’est la philosophie « maison »
  • Ton spot Le Trou de la Souris entre l’île Logodec et l’île Raguenes Meur
  • Ton péché mignon Les terrines La Paimpolaise Conserverie et les huîtres de chez Arin accompagnées d'une bière bretonne La Bonne Humeur ou d'un vin blanc sec
  • Ta passion Le travail du bois

Les croisières sont adaptées aux petits comme aux grands : cabotage, des moussaillons, découverte, nuit à bord, tout à vous...

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#guingampbaiedepaimpol

Embarquer pour une balade au soleil couchant dans l’archipel de Bréhat à bord d’un voilier breton typique, un verre de vin blanc dans une main et une huître dans l’autre... Un véritable rêve éveillé, devenu réalité grâce à Voiles & Traditions. On vous raconte.

Rendez-vous à la cale de pêche de Loguivy-de-la-Mer

18h, cale de pêche de Loguivy-de-la-Mer. L’heure d’embarquer pour une balade d’environ 2h30 sur l’Enez Koalen, beau voilier de près de 10 m de long qui fait partie de la flotte de Voiles & Traditions. Construit en 1989, le bateau est une réplique des traditionnels homardiers qui parcouraient au début du XXe siècle l’archipel de Bréhat pour pêcher des crustacés.

Bonne humeur à bord du voilier

Aujourd’hui, nous sommes treize moussaillons : une famille allemande, un couple d’Alsaciens avec leur petite fille et Yann, restaurateur parisien, accompagné de ses parents. Un dernier matelot complète la troupe : Didier, ami de Jean, venu lui prêter main-forte et présenté comme le « docteur ès huîtres » du coin.

La bonne humeur du Capitaine est contagieuse, et c’est avec entrain que nous quittons le port de Loguivy-de-la-Mer.

Au fil de l’eau

Une fois partis, nous passons devant la Vieille de Loguivy, une balise jaune et noire servant à indiquer aux marins leur chemin. Dès les premiers échanges, le capitaine annonce avec malice : « Aujourd’hui, je vous tutoierai tous : on ne se vouvoie pas sur un bateau, c’est la coutume. » Tutoiement pour tout le monde, donc.

Nous sommes rapidement mis à contribution : rentrer les « défenses », ces bouées qui protègent le voilier des chocs lors des manœuvres, lever la voile, tenir la barre... Chacun des passagers peut participer, s’il le souhaite.

Au fil de la balade, Jean (le Capitaine) et Didier, fins connaisseurs, nous racontent l’histoire de telle ou telle île. L’île Maudez, par exemple, qui appartient à un riche industriel. Ou encore l’île Saint Riom, joyau de la baie qui est cultivée par un maraîcher. Nous apercevons au loin la presqu’île de Pleubian et le Sillon du Talbert. Pas d’itinéraire précis de prévu pour la sortie : « On se laisse porter » précise Jean, « pas la peine de se presser, il ne s’agirait pas de renverser notre verre de blanc ! » En parlant de ça...

Vin blanc, huîtres et rillettes de poisson

Vient l’heure tant attendue de l’apéritif. Didier s’attèle à l’ouverture d’une bourriche entière d’huîtres, et conseille un passager déjà aguerri sur la façon de les ouvrir correctement. Évidemment, après dégustation, on peut rejeter la coquille en mer : « comme ça, elle se reremplit. » Ben voyons.

L’huître se cuisine à toutes les sauces, et ce n’est pas Didier qui dira le contraire : « j’ai déjà préparé un repas entièrement à base d’huîtres : entrée, plat, dessert ! » Il ne rechigne pas à partager ses recettes. Huîtres cuites au barbecue à la figue et au safran, ou à la méditerranéenne : huile d’olive de Crète, poivre de Sichuan et piment d’Espelette... Intéressant. Paraîtrait-il qu’un restaurant breton propose de la glace à l’huître. « Ça ne laisse personne indifférent », commente Jean. C’est certain.

Pour les intolérants aux mollusques, pas de panique : des rillettes de poisson La Paimpolaise Conserverie, une conserverie locale, et du pain de campagne sont également proposés. Le tout accompagné d’un verre de Muscadet... Un vrai délice. Même les enfants à bord trouvent leur bonheur, grâce aux madeleines proposées. Un moment de convivialité apprécié par tous.

Aux alentours de 20 h, il est temps de rebrousser chemin. Yann, venu avec ses parents, mène la barre, avant de laisser la place à une petite fille, émerveillée. Il est temps d’affaler la voile, et un passager demande sur quelle « corde » il doit tirer, déclenchant l'hilarité du chef de bord et de son acolyte : « il n’y a pas de cordes sur un bateau, mais des bouts et des drisses. Enfin, on a une seule corde : celle de la cloche. » C’est noté.

Nous arrivons à notre point de départ, les papilles ravies et des images plein la tête. Une balade apéro réussie.

Texte de Noah Moulinet - Publihebdos

  • Voilier dans l'archipel de Bréhat ©Cédric Lagrifoul

L'Île de Pâques version bretonne

Le projet fou des 1000 sculptures !

En famille, muni d’un jeu de piste tentez de percer les mystères des statues. Des indices, des rébus et une bonne dose d’observation vous permettront de découvrir leurs secrets.

Les chantiers de sculptures : pendant les beaux jours (de mai à octobre), les sculpteurs se retrouvent pour un mois de travail et d’expression d’art intensif. Venez admirer leur savoir-faire !

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Nous avons entendu parler de Carnoët, un petit village de la Bretagne intérieure qui accueille sur ses terres une assemblée bien étrange. Elle est composée de statues représentant des saints bretons dont les actes miraculeux illustrent les contes et légendes bretonnes ! Il ne nous en faut pas plus pour partir à la découverte de la Vallée des Saints, à la recherche de mystères et rites anciens !

Sur les pas des Géants en compagnie de Jean

Nous sommes accueillis par Jean, guide à la Vallée des Saints qui nous invite à le suivre pour "un voyage dans l’imaginaire de la Bretagne d’antan." Nous montons au sommet de la colline car il souhaite nous faire découvrir un panorama majestueux dominant tout le Centre-Bretagne.

Nous laissons porter notre regard à l’infini jusqu’à une petite chapelle blottie au fond de la vallée : "cette chapelle Saint-Gildas est classée monument historique et là à vos pieds, admirez cette motte féodale parfaitement conservée." Et nous voilà parmi les géants de pierre !! Notre chef de groupe nous invite à "admirer cette centaine de statues-menhirs émergeant des profondeurs de jadis. Ces morceaux de roches taillés en forme d’hommes, de femmes ou parfois d’animaux regorgent de légendes, de cultes et de miracles".

Nous écoutons émerveillés comme des enfants, l’histoire de ces saints que Jean nous conte avec joie : "ces saints venus d’Outre-Manche, moines, prêtres ou religieux ont été sanctifiés par le peuple «païen» pour leurs vies hors du commun. Leurs actes légendaires, extraordinaires et miraculeux ont donné des histoires que l’on se transmet de générations en générations."

Le guide nous dévoile la vie merveilleuse de quelques personnages qu'il affectionne particulièrement. Saint Tugdual "un saint fondateur de la Bretagne, le premier évêque de Tréguier ; il eut à vaincre un dragon ! D’où le dragon rouge sur le drapeau du Trégor." Ou bien encore la vie de Saint Bieuzy : "un seigneur est venu à sa rencontre pendant un office et lui a ordonné de guérir ses chiens enragés. Devant son refus, le seigneur furieux lui fendit le crâne avec son arme. Malgré tout, Bieuzy poursuivit l’office, après quoi il est allé rendre l’âme devant Saint Gildas. Depuis lors, on invoque Bieuzy pour guérir de la rage et des migraines". Nous passons un merveilleux moment en compagnie de Jean et des statues, plongés dans un livre de contes à ciel ouvert.

L'Île de Pâques, version bretonne

Jean nous explique avec passion l’origine du projet : "Philippe Abjean, Président de l’association La Vallée des Saints, accompagné de Sébastien Minguy ont permis la réalisation de ce projet fou ! Ils ont recherché les premiers mécènes, les premiers sculpteurs, les premières bonnes volontés dans cette aventure de transmission."

Aujourd’hui, on compte presque 200 géants de pierre et chaque année ils sont de plus en plus nombreux ; d’autres viendront les rejoindre, jusqu’à un millier de sculptures ! Imaginez les générations futures découvrant le site ; mais qu’ont bien voulu dire ces bretons ? "

Des sculpteurs passionnés

Jean ne manque pas de nous parler des sculpteurs qui par leur travail donnent vie aux Géants de la Vallée.

"Les sculpteurs, une vingtaine d’artistes de Bretagne et d’ailleurs se retrouvent plusieurs fois par an pour faire chanter la pierre et les consciences. Chacun est différent dans l’expression de son art et pourtant chacun trouve sa place sur la colline Saint-Gildas. Vous pourrez les observer travailler, voir l’artiste donner peu à peu forme au personnage qu’il a imaginé."

Découvrir la Vallée des Saints en vidéo

  • La Vallée des Saints à Carnoët © Nos Coeurs Voyageurs

Ein Nachmittag auf dem Golfplatz von Bégard

Entspannung und Konzentration

Gaëtane Bourdonnec - golf de Bégard ©Oeil de Paco

Gaëtane Bourdonnec

Der Golfplatz von Bégard, Familienunternehmen seit 1987

Lust auf eine Runde Golf?
Schnupperkurs (1 Std.), Kurse und Workshops für Anfänger:innen und Fortgeschrittene

Wählen Sie das Passende

Golf für Kiinder
Kinder sind in der Regel ab 6 in der Lage, erste Versuche mit dem Golfschläger zu machen.

            Golfschule und Golfworkshops

 

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#guingampbaiedepaimpol

Ich habe mich am frühen Nachmittag zu einem Schnupperkurs mit Golftrainer Lénaïc Besnoux angemeldet. Der Golfplatz von Bégard liegt ruhiger, ländlicher Umgebung. Im Café des Empfangsbereichs erwarten mich die Bourdonnecs, die Eigentümer und Betreiber der Anlage sind.

Einführung in die Schlagtechnik

Von dort geht es auf den 40 ha großen Golfplatz. Erste Station ist die Driving Range, wo ich den Abschlag mit verschiedenen Golfschlägern lernen soll. „Die Höhe des abgeschlagenen Balls hängt vom Winkel der Schlagfläche ab, während die Länge des Schlägers ausschlaggebend für die Flugweite des Balls ist“, erläutert Lénaïc und zeigt mir die drei Schlägerarten: Putter, Eisen und Holz bzw. Driver. Vor dem Abschlag sage ich seine Anweisungen auf: Mit den Sohlen flach auf dem Boden stehen und stets den Ball im Blick behalten. „Je entspannter Du bist, umso leichter geht‘s“, raunt man mir zu. Doch so entspannend die grüne Kulisse und spielerisch das Training auch sein mögen, ich treffe meistens die Luft statt den Ball – mein Trainer grinst.

„Golfspielen macht den Kopf frei“

Lénaïc hat das Golfspielen mit der Muttermilch aufgesogen. „Man kann immer noch was dazu lernen“, so der leidenschaftliche Golfer, „aber immer schön bescheiden bleiben, nicht übermütig werden. Golfspielen verlangt Konzentration und hat eine sehr entspannende Wirkung, es macht den Kopf frei und trainiert den ganzen Körper.“

Hügelige Bahnen

Danach wage ich mich auf den teils hügeligen, teils abschüssigen Platz. Ziel der Übung ist es, den Ball über eine Entfernung von mehreren Hundert Metern mit möglichst wenigen Schlägen einzulochen, in meinem Fall sind es sieben. Als Erstes überlege ich mir, welchen Schläger ich benutzen und wie ich mich zum Ziel hinstellen soll. Und siehe da: Mit sieben Schlägen ist der Ball im Loch! Doch wie Lénaïc weiß, heißt Golfen vor allem, an nichts zu denken, sich nur auf das Ziel zu konzentrieren. Dabei sorgen die Kulisse und die Bewegung an der frischen Luft für perfekte Entspannung.

(© Text: Publihebdos)

  • Golf de Bégard ©Oeil de Paco
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Sport & Nature

in Belle-Isle-en-Terre

Anfänger-Workshop im Bogenschießen am Guer-Ufer mit Sports & Nature

Freizeitangebote den ganzen Sommer über in Belle-Isle-en-Terre, Ploumagoar, Callac, Louargat, Bégard, Guingamp, Bulat und Bourbriac

Das Programm entdecken

Ganzjähriger Verleih: Moutainbikes, Citybikes- und E-Bikes sowie Zubehör für Familien mit Kindern
 

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#guingampbaiedepaimpol

Das alljährlich von den Coaches und Guides von Sports & Nature in Belle-Isle-en-terre aktualisierte Sommerprogramm umfasst Outdoor-Aktivitäten für die ganze Familie wie Slacklining, Paddeln, Klettern, MTB-Fahren, Schnitzeljagd, Orientierungslauf, Discgolf usw. Da ist für jede Altersstufe, jedes Niveau und jedes Portemonnaie etwas dabei.

Anfänger-Workshop Bogenschießen

Wir haben uns zum Anfänger-Workshop im Bogenschießen angemeldet und für 14:30 Uhr mit Coach Léo Denais verabredet. Zu der 12-köpfigen Gruppe gehören außer uns einige Urlauber:innen aus Nordfrankreich, ein Vater- und Sohn-Team und ein Großelternpaar mit Enkelkindern. Ihre Enkelinnen lebten am Meer, erläutert die Großmama aus Plouigneau in der Nordbretagne, und der Strand sei nicht Neues für sie. Sie habe deshalb beschlossen, sie zum Bogenschießen im Grünen mitzunehmen.

Coach Léo führt uns zum Schießstand, der mitten im Grünen, am Guer-Ufer liegt. Dort erläutert er uns zur Einführung in die Materie wichtige Grundbegriffe, wissenswerte Details für die Benutzung des Bogens und unentbehrliche Sicherheitsvorkehrungen – schließlich sind Pfeile und Bögen Waffen.

Junge Bogenschütz:innen üben mit Saugpfeilen. Die kleine Kindergruppe wird vom Coach und den Großeltern betreut, die genau hingehört haben.

Gut zuhören und sich konzentrieren

Ein paar Schritte von der Gruppe entfernt werden für die erwachsenen Teilnehmer:innen Zielscheiben aufgebaut. Jetzt erläutert Léo im Detail, wie man den Bogen in die Hand nimmt, wie man ihn hält und wie man den Pfeil auflegt. Hört sich einfach ein, klappt aber nur, wenn man genau zuhört! Anschließend schießen wir in Dreiergruppen unsere ersten Pfeile ab.

Dabei ist vor allem Konzentration gefragt. Die für Anfänger:innen gebauten Bögen erfordern keinen besonderen Kraftaufwand. Ein paar Pfeile verirren sich im angrenzenden Wäldchen, doch die meisten treffen mehr oder weniger genau die Scheibenmitte.

Manche wie die etwa zehnjährige Léna scheinen ihr Leben lang nichts anderes gemacht zu haben. Sie schießt auf Anhieb alle ihre Pfeile exakt in die Scheibenmitte. Ich leider nicht. Aber das Bogenschießen ist eine relativ leicht zu erlernende Beschäftigung, so dass man motiviert bleibt und viel Spaß beim Üben hat.

Bogenschießen mit Quiz

Léo setzt noch eins drauf und schlägt ein kleines Ratespiel vor. Mein Tipp: Frischen Sie vorher Ihr Wissen über das Léguer-Tal und die dort lebenden Tierarten auf. Für „richtig“ muss man nach links schießen, für „falsch“ nach rechts. Den Pfeil in die gewünschte Richtung zu schießen ist eine Sache. Eine andere Sache ist die Wahl der richtigen Antwort. Also bitte nicht nach links zielen, wenn die Frage lautet: Ist der Léguer 200 km lang? Und erzählen Sie ja nicht weiter, dass ich Ihnen die Antwort auf die Zunge gelegt habe.

Danach wird die Sache komplizierter. Es gilt, Papageientaucher mit dem Pfeil auf der Insel Rouzic in der Scheibenmitte abzusetzen. Das Spiel findet großen Anklang und erweist sich als schießtechnisch anspruchsvoll. Zum Schluss machen wir einen Wettbewerb nach Punkten, bei dem das aus dem kleinen Yanaël und mir bestehende Zweierteam eine Glanzleistung hinlegt.

Alle sind bester Laune nach den anderthalb Stunden, die wie im Flug vergangen sind. Wir haben in familienfreundlicher, netter Atmosphäre in idyllischer Umgebung schießen gelernt und nebenbei Wissenswertes über das Léguer-Tal, die Flüsse Guer und Guic und die heimische Fauna erfahren. „Wir kommen wieder“, versprechen die frisch gebackenen Bogenschütz:innen.

(© Text: Publihebdos)

  • Belle-isle-en-Terre : station sports et nature au bord du Léguer © Oeil de Paco

Auf Tour im Mündungsgebiet zwischen La Roche-Jagu und Pontrieux

für große und kleine Naturinteressierte diverse Aufführungen, interaktive Stationen, Workshops und Ausstellungen gezeigt werden !

Entdecken

Die Vedettes de Bréhat und der Passeur du Trieux bringen ihre Bordgäste direkt an den schlosseigenen Bootssteg.

 

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#guingampbaiedepaimpol

An einem herrlich sonnigen Tag brechen wir zu einer Erkundungstour an den Trieux auf, dessen Ufer sich von La Roche-Jagu bis Pontrieux durch das grüne Flusstal schlängeln.

La Roche-Jagu

Wir sind heute Morgen auf Streifzug in den Gärten von Schloss La Roche-Jagu, wo eine angenehm erfrischende Brise herrliche Düfte zu uns herüberweht. Das auf einem erhabenen Felsplateau stehende wehrhafte Schloss wacht seit mehr als sechs Jahrhunderten über das Mündungsgebiet des Trieux. Das tief unter uns ruhig fließende Wasser schimmert in unzähligen Grüntönen und ist die perfekte Kulisse für mein Gruppenfoto!

Sogar die Kinder machen das Programm klaglos mit, planschen in den zahlreichen Wasserrinnen, klettern auf Bäume und über Mauern, verstecken sich hinter kunstvoll geflochtenen Weidenhecken und hüpfen zwischen Kräuterbeeten hin und her. Gartengestalter sind wahre Zauberkünstler, wenn es darum geht, Bauwerke und Pflanzen in einen Dialog zu bringen und uns mit ihren botanischen Kreationen zum Träumen einzuladen. Nach einer letzten Verschnaufpause im Schatten des für Kinder sehr spannenden Palmengartens brechen wir, noch ganz entrückt vom soeben erlebten Sinnestaumel, nach Pontrieux auf.

Pontrieux, die Kleinstadt mit Charakter

Den Fluss entlang gehend erreichen wir Pontrieux und sind nicht wenig erstaunt, in mehr als 15 km Entfernung von der Küste so viele Segelboote zu sehen. Auf einem Platz erinnert ein schmuckes Fachwerkhaus an die glorreiche Vergangenheit von Pontrieux. Lautlos fahren Kähne unter der Brücke durch und bringen ihre Bordgäste zu den verstecktesten Ecken und Winkeln der prämierten Kleinstadt. Den Anleger haben wir schnell gefunden. Bunte Boote, Waschhäuser mit Blumen und Trockensteinbauten spiegeln sich im Wasser – das reinste Postkartendekor und eine traumhafte Stille.

Wir gehen an Bord eines Kahns, dessen junger einheimischer Bootsführer sich für die Geschichte der Stadt und ihre rund fünfzig Waschhäuser begeistert. Pontrieux war als Hafen von Guingamp mit dem Getreide-, Leinen- und Holzhandel einst zu Wohlstand gelangt, so dass sich manch begüterter Bürger der Stadt ein eigenes Waschhaus leisten konnte und seine schmutzige Wäsche auch im übertragenen Sinne nicht in der Öffentlichkeit waschen musste. Die Kids sind begeistert. Sie lauschen den Ausführungen über die Arbeit der Wäscherinnen gespannt und erfahren, dass es vor noch gar nicht so langer Zeit keine Waschmaschinen gab. Unser Guide unterhält uns mit historischen Anekdoten, und wir fühlen uns geehrt, dass die Einheimischen mit Begeisterung von den liebevoll restaurierten geheimen Ecken und Winkel ihrer Stadt erzählen.

Besonders reizvoll soll die Kahnfahrt bei Dunkelheit mit Lichtshow sein. Das könnte ein Geheimtipp für Verliebte sein! Seinen Beinamen Klein-Venedig des Trégor verdient Pontrieux auf jeden Fall.

(© Text: Publihebdos)

  • Domaine départemental de la Roche-Jagu © Oeil de Paco

Au fil du Trieux

jusqu'à l'estuaire

Au départ du port de Lézardrieux, à bord du Passeur du Trieux, la balade de l'Estuaire propose une traversée de deux heures sur le Trieux.

La balade dure deux heures, de Lézardrieux au phare de la Croix et Loguivy-de-la-Mer

Tester les différents itinéraires du Passeur du Trieux ; chaque voyage est unique !

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#guingampbaiedepaimpol

Lorsque la mer est basse, le Passeur du Trieux quitte sa base de Lézardrieux et dirige ses passagers vers l’Estuaire. De la maison de Georges-Brassens jusqu’au port de Loguivy-de-la-Mer, la richesse du fleuve qui sépare le Goëlo et le Trégor est un défilé d’images époustouflantes. 

Le capitaine propose des balades en bateau, abordant le thème de la mer, des phares, de la pêche, des marées… Pendant deux heures, le capitaine vogue sur le Trieux, frontière naturelle de 72 kilomètres, séparant notamment Paimpol de Lézardrieux.

Pendant cette sortie appelée aussi » la balade des phares «, le guide raconte l’histoire des nombreux phares construits au bord du fleuve, mais aussi les activités qui s’y passent, comme l’ostréiculture, la pisciculture, la voile, la plongée… Des anecdotes, des faits historiques et des explications agrémentent l’expédition nautique.

 » J’aime bien faire vivre aux gens ce que l’on vit ici «, explique le capitaine passionné. Sous un grand soleil donnant un côté paradisiaque à la traversée, ou sous une brume la rendant » mystique «, découvrez toutes les anecdotes du Trieux.

Georges Brassens, Bréhat, Loguivy-de-la-Mer…

  » On dit ne dit pas l’île de Bréhat, mais l’archipel de Bréhat «, explique le guide aux passagers du passeur du Trieux, l’île aux fleurs étant observable pendant la balade.  Rien ne lui échappe, il connaît tout ou presque sur le Trieux et son Estuaire qu’il aime vanter, tout en éclairant les passagers sur les éléments qui pourraient leur échapper.

Parmi les éléments incontournables de la traversée, il y a la maison de Georges Brassens. Sur un fond de » Les copains d’abord «, le capitaine raconte la venue du chanteur sétois en Bretagne. Continuez ensuite le voyage en découvrant la fameuse roche à trois bosses, passage symbolique vers la mer, là où le Trieux est à plus de 35 mètres de profondeur. Longez le fleuve en aval et suivez la route des phares, jusqu’à l’Estuaire. Cet été est d’ailleurs l’occasion d’admirer le Phare Coat mer une dernière fois, puisqu’il sera détruit prochainement.

Par beau temps, vous pourrez admirer l’archipel de Bréhat, et peut-être même apercevoir le Sillon de Talbert. Apprenez-en plus sur l’épave Ludwig Jansen, bateau découpé par la marine nationale en 1982, dans lequel plusieurs bombes ont été découvertes en juin 2023 ! Enfin, arrivés à Loguivy-de-la-Mer, écoutez l’histoire du village sur un fond cette fois-ci de "Loguivy-de-la-Mer", chanson fétiche du poète François Budet, hymne repris par de nombreuses générations locales.

Pour connaître le reste de la visite et se laisser submerger par les magnifiques images que réservent le Trieux et son rivage, il faut y participer car le capitaine insiste, " Tout ce qui se passe à bord, reste à bord ! ". Un privilège réservé aux seuls passagers du Passeur du Trieux.

"La balade digestive"

Cette activité est l’occasion de découvrir le Trieux calmement. Pas besoin d’avoir le pied marin pour faire la balade de l’Estuaire, surnommée la "balade digestive" par les capitaines. Enfants, familles, retraités, cette traversée convient à tous. Et l’ancien marin sait s’adapter au public et aux conditions météo… avec humour et pédagogie ! Et un amour immodéré pour cette nature préservée et ses couleurs sans cesse renouvelées.

(© Avec l’aimable autorisation de Publihebdos, texte adapté)

  • Balade sur l'estuaire du Trieux avec le Passeur © Oeil de Paco

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